L’apprentissage du clown et ses répercussions sur l’oeuvre. Analyse sur la genèse, la pratique, et l’esthétique de l’art clownesque à partir du XIXe siècle Présenté (pdf)

Almeida, André Salles Moreira de – L’apprentissage du clown et ses répercussions sur l’oeuvre. Analyse sur la genèse, la pratique, et l’esthétique de l’art clownesque à partir du XIXe siècle Présenté. Université Paris 8 – Vincennes, Saint Denis:  Mémoire de Master Master 2 – Théâtres, performances et sociétés, Année scolaire 2020/2021.

Introduction

Ma passion pour la scène est née grâce à mes parents qui, sans imaginer que cela pourrait devenir mon métier, m’ont emmené plusieurs fois au théâtre dans mon enfance. Je me rappelle d’avoir cinq ou six ans et d’aller voir Les 101 Dalmatiens avec eux. Nous nous sommes installés dans la première rangée et moi – très enthousiasmé par l’inoubliable jeu de l’acteur qui jouait le rôle du chien Pongo – ignorait la vraie menace qui est apparue un peu plus tard. Cruella d’Enfer, avec son énorme manteau en fourrure, m’a fait vivre beaucoup plus qu’une expérience esthétique. À cause de son vieux costume poilu, j’ai fait l’une des plus grandes crises d’allergie respiratoires de ma vie (et que mes parents ne me laisseront jamais oublier). Depuis ce jour, je ne me suis plus jamais assis au premier rang, mais aujourd’hui, alors que je me rapproche de mes trente ans, je me sens encore dans ce même théâtre, désormais sans allergies. En 2010, j’avais ans quand j’ai signé mon tout premier contrat de travail à Belo Horizonte, ma ville natale au Brésil. J’ai été embauché en tant que billettiste au sein du Teatro Santo Agostinho, où j’ai travaillé pendant 8 ans, devenant par la suite technicien lumière, son, machiniste, éclairagiste et, finalement, régisseur.
J’ai eu en 2016 ma licence en Cinéma et Audiovisuel, ce qui m’a permis de porter un regard tout nouveau sur l’art dans son ensemble et, non paradoxalement, m’a fait comprendre que ce qui m’anime le plus sont les arts de la scène et du spectacle vivant. En 2017, j’ai obtenu mon diplôme national supérieur au Brésil, à l’école du Teatro Universitário3, au sein de l’Université Fédérale de Minas Gerais (UFMG). Lors de ma formation de comédien d’une durée de trois ans, j’ai longuement été en contact avec la pédagogie de masques théâtraux dont le masque neutre, les masques larvaires, semi expressifs et expressifs dans le cadre du séminaire d’interprétation et d’improvisation dispensé par le professeur Fernando Linares. Ce séminaire m’a particulièrement marqué et a beaucoup apporté à mon travail de clown : une autre ancienne.

Observação de Marcos Antonio Bortoleto: “Dissertação de André Salles, ator e palhaço mineiro, estudou na UFMG, e agora está estudando na Université Paris 8 – Vincennes, Saint Denis. Fala sobre a arte e aprendizagem do palhaço.”

CLIQUE AQUI PARA LER ESTE TRABALHO NA ÍNTEGRA

Related posts

A montanha que pariu o Ratinho. Análise de um programa de auditório da TV aberta

circon

Mixórdia no picadeiro: circo, circo-teatro e circularidade cultural na São Paulo das décadas de 1930 a 1970 (pdf)

circon

O processo de criação da Escola Nacional de Circo no Brasil e a continuidade dos modos de vida dentro e fora da lona (pdf)

circon